jeudi, 20 octobre 2016
NE PAS IMPOSER AUX AUTRES CE QUE L’ON REFUSE POUR SOI !
La constitution ivoirienne n’est pas une serpillière sur laquelle Ouattara et ses commanditaires occidentaux peuvent s’essuyer les pieds en bafouant la souveraineté du peuple et en lui imposant des présidents criminels véritables servants locaux de la prédation occidentale. 13 ans après Marcoussis qui visait déjà à imposer les rebelles au pouvoir avec à leur tête Ouattara, le projet de reforme de l’article 35 de la constitution ivoirienne[1] facilite les reformes constitutionnelles selon le bon vouloir du prince, institue un vice-président qui remplacerait le président en cas de vacance du pouvoir, supprime la limite d’âge actuellement établie à 75 ans pour briguer un mandat présidentiel,… et on voudrait nous faire croire que ce serait pour raffermir l’unité du peuple, le réconcilier avec lui-même au nom d’une démocratie apaisée. De qui se moque-t-on ?
[2] Voici l'article 35 de la Constitution ivoirienne du 23 juillet 2000 :
Tout gabonais bénéficiant d’une autre nationalité au titre de laquelle il a exercé des responsabilités politiques ou administratives dans un autre pays, ne peut se porter candidat. Toute personne ayant acquis la nationalité gabonaise ne peut se présenter comme candidat à la Présidence de la République. Seule sa descendance ayant demeuré sans discontinuité au Gabon le peut, à partir de la quatrième génération.
16:42 Écrit par Fernand AGBO DINDE dans Afrique, Brésil, Burkina Faso, Congo Brazzaville, Crise ivoirienne et Politique ivoirienne, Etats-Unis d'Amérique, Europe, France, Gabon, Monde, Société ivoirienne | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : afrique, france, états-unis, portugal, burundi, congo brazzaville, gabon, brésil, burkina faso | |
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dimanche, 17 novembre 2013
PRET DE SASSOU A OUATTARA, COLERE AU CONGO-BRAZZAVILLE: «SASSOU S'AMUSE A L'ECONOMIE D'ENDETTEMENT»
"Au Congo-Brazzaville, il y a un profond malaise recouvert d’un immense embarras. Des révélations par le FMI d’un crédit du Congo-Brazzaville à la Côte d’Ivoire, il en ressort une angoissante impression d’indignation doublée d’incompréhension. Le manque de sens des priorités de l’administration Sassou est sidérant. Le Congo-Brazzaville a prêté 100 milliards de FCFA (environ 152 millions d'euros) à la Côte d'Ivoire.
L'accord négocié secrètement à Oyo lors de la visite officielle du président ivoirien Alassane Ouattara en juillet 2013 a reçu le feu vert du FMI.
Complice
Le blanc-seing et le manque de réserves du FMI, le gendarme financier international sont troublants. L’institution financière internationale qui a élu le Congo-Brazzaville au statut de pays pauvre très endetté (PPTE) a donné son quitus à l’opération financière. Une opération financière qui s’apparente au fait du prince. Début octobre 2013, Michel Lazare, le chef de mission du Fonds monétaire international (FMI) et son collègue Louis Dicks-Mireaux, spécialiste de la dette, ont accepté que l'État congolais débourse le financement de 100 milliards de F CFA (152 millions d'euros) accordé à la Côte d'Ivoire. Le président Alassane Ouattara avait obtenu ce prêt durant sa visite officielle à Brazzaville, en juin 2013. Il doit servir à soulager les finances publiques et à rembourser les arriérés de paiement liés à la dette intérieure. Mais l'opération minutieusement suivie depuis Brazzaville par Gilbert Ondongo, le ministre de l'Économie du Congo-Brazzaville, et son homologue ivoirienne Kaba Nialé restait suspendue à l'accord du FMI, qui surveille la stratégie de réendettement d'Abidjan comme le lait sur le feu. Cet accord semble avoir été accordé durant la visite d'une mission du FMI, conduite par Michel Lazare, à Abidjan du 17 septembre au 1er octobre 2013 (Jeune Afrique, 6 Novembre 2013). Le Congo-Brazzaville, pays pauvre très endetté (PPTE), est-il devenu le créancier de pays africains en quête de cash ? Les marchés financiers vont-ils être le cœur du métier du Congo-Brazzaville ?
Economie d’endettement
L'économie d'endettement est un système financier où prédomine la finance indirecte, sous la forme d'un financement par le crédit.
Celui-ci suppose l'intervention d'un processus d'intermédiation financière et l'établissement de relations bilatérales individualisées entre les banques et leurs clients. Les banques prennent un risque de crédit après l'avoir évalué et financent les opérations dont elles anticipent favorablement le résultat. Le crédit constitue ainsi le principal mode de financement de l'activité productive. Même lorsque les entreprises ont par leur dimension un accès au marché des valeurs mobilières, la faiblesse du taux d'autofinancement implique le recours complémentaire au crédit.
L'économie d'endettement ne doit pas être confondue avec l'économie endettée. Il n'est pas incompatible qu'une économie de marchés financiers réalise son équilibre par l'endettement extérieur. La différence majeure entre une économie d'endettement et une économie de marché financier est que, dans la première, la Banque Centrale est un prêteur en dernier ressort contraint d'assurer le bouclage du financement de l'économie alors que, dans la seconde, l'intervention du prêteur en dernier ressort reste discrétionnaire.
En régime de finance directe, les offreurs et les demandeurs de fonds prêtables se rencontrent sur les marchés. Les banques interviennent en vendant et en achetant des titres sans assumer le risque lié aux crédits accordés à des clients identifiés. En revanche, elles assument le risque d’effondrement des marchés, ce qui les oblige à détenir de grandes quantités de titres "sûrs" (valeurs du Trésor). Ce système s’accompagne d’un fort taux d’autofinancement des entreprises. Le taux d’intérêt arbitre entre l’offre et la demande.
Expérimentations hasardeuses
Même si le crédit de Sassou Nguesso à Alassane Ouattara a reçu l’aval du FMI, il n’obéit néanmoins à aucune loi. Les crédits distribués par le Congo-Brazzaville, au bon vouloir de Sassou Nguesso, n’intègrent ni les règles, les techniques et les mécanismes de l’économie d’endettement ni ceux des marchés financiers. Le montage et le bouclage de ces opérations financières échappent aux directeurs de la Banque centrale, du Trésor public et aux commissions des finances du parlement. Ce sont des opérations financières non identifiées (ofni). Et, pourtant, curieusement, ces opérations financières non identifiées (ofni) décrétées au gré des humeurs de Sassou Nguesso reçoivent le feu vert du FMI. Si, le réendettement de la Côte d’Ivoire est assorti de conditionnalités, en revanche, la stratégie de crédit tous azimuts du Congo-Brazzaville ne bénéficie d’aucun encadrement de la part des institutions financières internationales censées le contrôler, le conseiller et l’orienter.
Le Congo-Brazzaville n’est pas, avec la Côte d’Ivoire d’Alassane Ouattara, à sa première expérience en matière d’octroi de crédits. Il a déjà prêté 50 milliards de francs CFA à la BDEAC, 50 milliards de francs CFA au Niger, 50 milliards de francs CFA à la Guinée et plus récemment 25 milliards de francs CFA à la République centrafricaine. Dans toutes les chancelleries africaines le sujet est au centre des conversations et tout le monde se met à rêver d’obtenir un prêt de la République de Sassou Nguesso. « Qui cherche des milliards, se rend à Oyo ». C’est la blague du moment dans les capitales africaines. Le Congo-Brazzaville a-t-il tellement de liquidités qu’il ne sait quoi en faire ? Remarquons que ce petit pays pétrolier qui dispose de plus de 3000 milliards de réserves à la BEAC compte parmi les moins lotis en infrastructures routières, universitaires, hospitalières, scolaires, hydroélectrique, portuaires, hydrauliques, aéroportuaires…
Un étudiant, Norbert Mboungou, a perdu une main pour avoir revendiqué le paiement de la bourse. Pendant que Sassou Nguesso joue à « la grenouille qui veut se faire aussi grosse que le boeuf», les enseignants attendent la modification de la valeur indiciaire, les ménages l’augmentation du pouvoir d’achat et les populations du Congo-Brazzaville le financement des programmes sociaux.
Les populations du Congo-Brazzaville ont le droit d’être traitées pour ce qu’elles sont : des adultes moins ignorants de la complexité des mécanismes et des rouages monétaires et financiers que ne semblent trop souvent le croire Sassou Nguesso, Gilbert Ondongo, Isidore Mvouba, Rigobert Maboundou, le PCT et les épigones du « chemin d’avenir ».
Depuis 1997, les populations du Congo-Brazzaville attendent de Sassou Nguesso un discours de vérité et une vision d’avenir. Evidemment, bien sûr, l’un et l’autre font cruellement défaut à Sassou Nguesso, au PCT et aux épigones du « chemin d’avenir » animés par la kleptomanie, le clientélisme, la corruption et l’enrichissement personnel."
Benjamin BILOMBOT BITADYS
Article publié le 10 novembre 2013 au Congo-Brazzaville.
00:00 Écrit par Fernand AGBO DINDE dans Afrique, Congo Brazzaville, Société ivoirienne | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : côte d'ivoire, congo brazzaville, prêt de sassou à ouattara, colère au congo brazzaville, «sassou s'amuse à l'économie d'endettement» | |
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vendredi, 08 novembre 2013
LA COTE D'IVOIRE EST DEVENUE UNE MENDIANTE SOUS OUATTARA!
Finances publiques: 100 milliards du Congo à la Côte d'Ivoire
Le Fonds Monétaire international(FMI) a finalement donné son OK. La Côte d'Ivoire pourra entrer en possession des 100 milliards de francs CFA que le Congo-Brazzaville a prêtés au pays.
C'est le confrère Jeune Afrique qui a donné l'information hier sur son site. Selon cette source, le président Alassane Ouattara avait obtenu ce prêt durant sa visite officielle à Brazzaville, en juin 2013. « Il doit servir à soulager les finances publiques et à rembourser les arriérés de paiement liés à la dette intérieure », commente Jeune Afrique. Qui révèle que l'accord du FMI a été obtenu durant la visite d'une mission du FMI, conduite par Michel Lazare, à Abidjan du 17 septembre au 1er octobre 2013.
Bertrand Gueu
Source: RUE 86
23:32 Écrit par Fernand AGBO DINDE dans Afrique, Société ivoirienne | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : côte d'ivoire, congo brazzaville, finances publiques, 100 milliards du congo à la côte d'ivoire, la cote d'ivoire est devenue une mendiante sous ouattara!, bertrand gueu, rue 86 | |
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lundi, 08 août 2011
ALERTE ENLEVEMENT: PATRICK ERIC MAMPOUYA DANS LES GEOLES DE MONSIEUR SASSOU A BRAZZAVILLE

Monsieur Eric Patrick Mampouya, Blogueur, militant anti-Sassou.
Eric Patrick Mampouya, blogueur de nationalité française, mais d'origine congolaise et anti-sassou, militant actif qui battait les pavés parisiens, lors des manifestations diverses pour le retour de la démocratie au Congo, a été arrêté à l'«aéroport international Maya-Maya de Brazzaville (Congo-Brazzaville)» ce dimanche à 4 heures du matin, après plusieurs années sans retour dans son pays.
Eric Patrick Mampouya a été emmené par des hommes armés et se trouverait actuellement entre les mains du Colonel N'Dinga. Il était parti au Congo pour passer ses vacances d'août et rencontrer les partis politiques de l'opposition locale. Voici en rappel, le message de Eric à quelques jours (dans sa livraison du 28 juillet 2011) avant son retour au Congo :
MEME PAS PEUR: JE SERAI AU CONGO AU MOIS D'AOUT
Je suis Patrick Eric Mampouya, je suis un militant politique très engagé pour la Restauration de l'état, des droits et de la république au Congo Brazzaville.
Membre d'« Amnesty international », je milite activement au sein de l'association « CODICORD (Coordination de la Diaspora Congolaise Pour la Restauration de Démocratie) » dont le siège est à Epinay sur Seine en France.
Je réside en France où je mène un «activisme effréné» en organisant des «manifestations», des «réunions», des «meetings» en salle ainsi qu'une «cyber guérillas» à travers le réseau mondial et mon Web-Site : «http://www.mampouya.com» contre le régime de Denis Sassou N'guesso et son système mafieux mais aussi contre toutes les personnes qui le soutiennent.
Avant qu'on me prête des intentions fallacieuses sur ma présence au Congo ou qu'on me bricole un motif quelconque pour entraver ma «liberté de mouvement et de parole», je tiens à préciser qu'à ce jour je ne fais l'objet d'aucune plainte ni poursuite judiciaire ou politique au Congo Brazzaville et en France. Tous mes «documents de voyage sont à jour (certificat d'hébergement, visas, carnet de vaccination, passeport etc....)».
Je suis ni inconscient ni fou ; j'aime et je tiens à la vie, je n'ai donc pas l'étoffe d'un héros et encore moins celui d'un « martyr ». Mon voyage au Congo n'est qu'une étape de mon « activisme ».
Le but essentiel de mon voyage est la rencontre avec toutes les personnes qui veulent « un autre Congo » ainsi que les forces de changement qui souhaitent s'organiser pour mettre en œuvre des stratégies efficaces de sortie crise pacifique afin d'instaurer dans notre pays une paix véritable qui ne repose pas sur la peur.
Toutes les personnes qui voudraient me rencontrer sont priés de contacter le Journal « Talassa » ou son Rédacteur en Chef Ghys Fortuné Dombé.
Etre Opposant est un « Droit Constitutionnel » au Congo Brazzaville. Dans une démocratie un opposant n'est pas un ennemi mais un adversaire politique ou un allié qui peut servir à faire progresser les idées et les projets (quand les institutions fonctionnent correctement).
Dans sa « Loi fondamentale », le Congo Brazzaville adopte et intègre les principes fondamentaux proclamés et garantis par :
- La charte des Nations Unies du 24 octobre 1948;
- La déclaration universelle des Droits de l'homme du 10 décembre 1948;
- La charte Africaine des Droits de l'homme et des peuples du 26 juin 1981;
- Tous les textes internationaux pertinents dûment ratifiés relatifs aux Droits Humains;
- La charte de l'unité nationale et la charte des Droits et Libertés adoptées par la « Conférence Nationale Souveraine » le 29 mai 1991.
C'est donc muni du gilet Pare Balle que sont mes « droits fondamentaux » adoptés, proclamés et ratifiés par le Congo Brazzaville que je me rends avec confiance et détermination dans mon pays pour essayer de travailler avec toutes les personnes de bonne volonté qui souhaitent que le Congo Brazzaville redevienne un pays comme les autres.
Tous les Congolais doivent « Cessez d'avoir peur » pour exiger le « respect des droits fondamentaux » et des institutions de la République qui sont les seuls gage d'une paix véritable et du développement de notre pays. Depuis les indépendances le Congo Brazzaville est plongée dans un cycle infernal de crise politique, sécuritaire et humanitaire.
Cette grave crise trouve son origine essentiellement dans le refus obstiné des dirigeants du pays d'accepter et de respecter les Principes Démocratiques d'accession au pouvoir et de sa gestion ; la Démocratie ne se limite pas à l'organisation des élections....
Le Congo Brazzaville et sa population sont pris en otage par des dirigeants qui ne défendent pas les intérêts de la collectivité mais leurs intérêts particuliers et égoïstes.
Sans vision adaptée aux réalités objectives des Congolaises et des Congolais, ni projet économique et social de dimension nationale, beaucoup de politiciens, cadres administratifs et militaires du pays recherchent le pouvoir par tous les moyens y compris par la violence et la corruption. Une fois installés au pouvoir, ils se livrent à la prédation au détriment de l'intérêt général, et de la population dont le sort n'a fait que s'empirer d'année en année. Après un demi-siècle d'indépendance les dirigeants Congolais en sont encore à chercher des coupables et des boucs émissaires pour justifiés leurs échecs.
Ma modeste ambition est d'informer, de conscientiser, d'éduquer de lutter et de pousser à l'action pour la libération des populations du Congo Brazzaville car on ne peut soumettre indéfiniment un peuple instruit. Chers amis, chers compatriotes, le défi de notre génération est noble et ambitieux ; ce sont les peuples qui font l'histoire, la nôtre, nous avons l'obligation et le devoir de l'écrire parce que personne ne le fera pour nous.
C'est une obligation pour chaque génération d'essayer de faire mieux que la génération qui la précède.
C'est un devoir pour chaque Congolaise et chaque Congolais d'essayer de construire un pays libre, une « Nation digne et une République prospère, là où nos aînés ont faillis.
Ne nous sous estimons pas ; il nous suffit de vaincre nos peurs et nos égoïsmes pour que tout soit enfin possible, pour que notre pays devienne attractif et se développe enfin :
- Il n'y a pas de développement possible dans une ambiance délétère !
- Il n'y a pas de développement possible sans lois, règles et institutions respectées par tous !
- Il n'y a pas de développement possible sans un minimum de cohésion sociale !
- Il n'y a pas de développement possible sans un ordre social âprement discuté et négocié !
Celui qui prétendra le contraire est un fabulateur parce que le développement exige une adhésion de tous au projet ; ou tout au moins une participation raisonnée, il nous faut donc demander à certains de quitter leur obsession du profit à court terme qui casse en morceaux notre société, notre communauté, notre pays ...
Le système patiemment installé au Congo Brazzaville par les dirigeants actuels qui le pérennisent n'est ni réformable ni même améliorable, ce système écrase et détruit toutes les personnes intelligentes qui ont essayé de l'améliorer de l'intérieur ; il faut absolument rompre et changer de système.
Pour exiger le « changement », il nous faut reconstruire le « lien » entre « l'indignation et l'action », entre « le réalisme et la volonté ». Il nous faut arrêter les incantations, arrêter de nous positionner en donneur de leçons, et surtout arrêter de nous indigner sans nous donner les moyens concrets d'agir ; l'indignation sans action n'est bonne que pour se donner bonne conscience...
Il s'agit de notre devenir, de notre avenir et de celui de nos enfants que nous n'avons pas le droit de sous traités ; si notre génération n'y arrive pas, alors nos petits-enfants se battront contre les petits-enfants de ceux qui détruisent notre pays ; ce qui est triste comme perspective d'héritage.
Nos petites lâchetés quotidiennes pérennisent la misère et construisent les guerres de demain.
La République est notre voûte céleste, si elle s'effondre, nous serons tous écrasés...
Nous sommes le Congo !
Cessons d'avoir Peur !
Pour un construire un état de Droit au Congo !
«Chaque génération a le choix entre trahir ou accomplir sa mission»
Celui qui lutte peut gagner ! Celui qui ne lutte pas a déjà tout perdu !
Web-site d'Eric Patrick Mampouya: «http://www.mampouya.com».
Affaire à suivre ...
Source: NERRATI.NET
12:43 Écrit par Fernand AGBO DINDE dans Afrique, Europe, France | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : afrique, congo brazzaville, éric patrick mampouya blogueur militant anti-sassou, éric patrick mampouya mis aux arrêts | |
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